C) Le métier : Pour mon stage, je souhaitais approcher un métier concernant l’hydrobiologie. J’ai donc choisi de travailler dans le domaine de l’astacologie.

1- Le directeur de stage
Mon directeur de stage, Dr David BALDRY, est passé par beaucoup de filières et a travaillé dans beaucoup d’associations, de sociétés pour la biologie et de recherches scientifiques à travers le monde. Il fait maintenant partie de l’APEC, en qualité de conseiller scientifique. Il mesure la profondeur de l’étang de Cessy, fait  des prélèvements de zooplancton, étudie les écrevisses de l’étang et la végétation autour de celui-ci. C’est aussi un conseiller ad hoc.
Le parcours professionnel classique d’astaciculteur est de passer un BEP ou CAP maritime de conchyliculture, soit aller dans un lycée professionnel ou avoir fréquenté un lycée aquacole. Il faut également faire un stage dans la spécialité. L’entrée dans l’astaciculture est aussi accessible par d’autres qualités biologiques, si exercées auparavant (comme le Dr David BALDRY).

2- La description du métier
Ce métier consiste à élever des écrevisses ou à faire des recherches sur les écrevisses. On peut étudier les parasites dont elles ont besoin (celles qui portent les maladies, l’anatomie etc…) Il n’y a pas d’horaires particuliers si ce n’est qu’il faut beaucoup travailler sur le terrain! Ce métier peut s’exercer dans un laboratoire, dans des bassins en plein air ou à l’intérieur. Si on fait des recherches, on peut aussi étudier les écrevisses et leur comportement dans une rivière. Dans tous les cas, il doit y avoir de l’eau. L’eau peut aussi représenter un danger potentiel car on peut se noyer dans une rivière profonde ou être emporté par le courant. Concernant les écrevisses, il n’y a que les pinces auxquelles il faut faire attention… car les maladies ne sont pas transmissibles à l’homme.

1- Pourquoi ce stage ?
J’ai choisi ce stage parce que je suis très intéressé par la biologie et la nature. Je fais de la pêche depuis 7 ans et je suis par conséquent très attiré par l’eau et ses habitants. Je trouve la chaîne alimentaire aquatique intéressante. La nature et son environnement engendrent des métiers d’avenir si on veut préserver la planète. Le métier d’astaciculteur était le métier le plus proche de chez moi, le plus facile à trouver, mais nous n’avons pas fait que ça. D’ailleurs, nous avons surtout concentré  notre attention sur la rivière en général. Il y a une très grande commercialisation des écrevisses dans le monde à fins gastronomiques.

2- Quels ont été mes ressentis ?
Ce stage m’a permis de découvrir de nouvelles choses en rapport à la biologie aquatique. Nous avons étudié la rivière l’Oudar sous tous les angles. J’ai trouvé très  appréciable que mon directeur de stage choisisse de faire une étude à côté de chez moi, évitant ainsi de nombreux déplacements. Mes craintes étaient que cette rivière soit polluée. Ceci fut malheureusement prouvé ; ces pollutions provenaient des fermes environnantes, des véhicules abandonnés dans la rivière, du déversement des eaux des piscines, des égouts, du sel de route…
Il persiste encore une déception…le stage était trop court !!!

3- Organisation du stage
Dès la première rencontre avec mon directeur de stage, j’ai été très content. Il m’a expliqué ce que nous allions faire, ce qu’il attendait de moi et organisé nos rencontres. Le stage se déroulant normalement fin novembre - début décembre, il fallait que l’on travaille avant que le froid ne s’installe et que les écrevisses aillent se reposer. Nous avons bien fait... puisque la neige est tombée durant la semaine de stage ! Le Dr David BALDRY est un livre de connaissance. Il est très attentionné et grâce à lui, j’ai réussi à me mettre dans la peau d’un biologiste.

E) Remerciements
Je tiens à remercier mon directeur de stage, le Dr David BALDRY, pour m’avoir expliquer le métier et de m’avoir appris à résonner comme un « scientifique ». Il m’a beaucoup apporté de connaissances !
Je remercie aussi le Président de l’APEC, M. Williame COOSEMANS, qui a accepter ma demande de stage dans cette association.
Remerciements également à M. Yannick AUFFRET pour les études que j’ai pu faire à la Pisciculture de Véraz !
Merci au collège « le Turet » pour ce stage !

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